Je me donne un mal de chien pour insuffler de la différence en mon quotidien.
Et pourtant c'est tout ce qui me reste; la similitude, l'angoisse et le néant. Ce sont eux qui jouent avec moi, et j'ai perdu
d'avance.
On souffre de ne rien dire, de ne rien penser vraiment, de ne rien se balader, de ne rien vivre et continuer.
Alors rien.
L'éxaspération dans toute sa maginificence, celle qui n'a rien a envier à la haine éxtrème, venez crachez. Mes idoles.
Le blanc absolu, plus rien du vide vertiginieux. Le vertige du rien, si seulement il y avait quelquechose pour m'en empecher.
Noyés les idées et l'éspoir de créer, car au fond du trou c'est encore quelquepart.
Mais NOUS, où sommes nous?
Et que faire de cette soif?